« Patience et longueur de temps font mieux que force ni que rage » nous enseigne le fabuliste, alors laissons faire le temps et comptons sur notre bonne étoile.
Là-haut, les vignes roussissent, l’air est vif et piquant, l’herbe humide se mêle aux senteurs de champignons, la haie est verte et feuillue, les poumons de la vie sont en marche, le sol n’attend plus que nos pas, l’air n’attend plus que nos rires, le vent n’attend plus que nos yeux.
Nous nous attendons mutuellement, jusqu’au jour où…
vendredi 1 décembre 2006
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