Sa chevelure juvénile s’effarouche
La brume mordille ses épaules nues
Le frisson se lit sur sa bouche
La cambrure offerte elle fend les nues.
Les vagues caressent ses courbes brunes
Le vent consume ses yeux café
Le rire se lit sur ses lèvres prune
Le cœur brûlant elle rejoint les fées.
A travers nuées sa grâce s’élance
L’astre du jour embrasse la belle Maure
Le bonheur se lit sur la pourpre qui danse
L’âme mourante elle offre son corps.
dimanche 26 novembre 2006
La belle Maure
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