jeudi 30 novembre 2006

L'étranger


Le monstre nocturne a déployé ses forces, les longues nuits paisibles sont mortes, la fatigue engendre le mal.
Lorsque le monstre surgit, au milieu du sommeil, la nuit se tait et l’on entend les cris et les pleurs.
Puis le monstre s’évapore ainsi que les larmes.
Il s’en va, au loin, dans le noir éternel, ce n’est qu’un « au revoir », l’étranger est chez lui en moi.








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