dimanche 10 décembre 2006

Véronique


Véronique est assise à son bureau.
Devant ses yeux éteins : une machine à écrire en braille, un clavier de quelques touches seulement.
Une machine mécanique comme les vieilles machines à écrire des années 50, que l’on retrouve à présent dans les dépôts-ventes au milieu des phonos et des objets poussiéreux.
Une machine bruyante comme l’Enfer qui perfore le papier blanc comme une mitraillette mitraille une cible en carton.







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